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22 mai 2018 2 22 /05 /mai /2018 19:37
Conte  des  trois  arbres

Il était une fois trois arbres qui partageaint leurs rêves et leurs espoirs.

 

Le premier s'imaginait être un coffre à trésor, renfermenant ce qu'il y a de plus précieux au monde.

 

Le duxième rêvait d'être un vaisseau grandiose faisant traverser les océans aux plus grands rois de la terre.

 

Le troisième se voyait grandir et dépasser la cime des plus grands arbres. Tout le monde alors le regarderait avec respect.

 

Le jour arriva où trois bûcherons vinrent couper les arbres... Hélas ! leurs rêves furent vite évanouis lorsque le premier fut transformé en une auge grossière pour animaux, le deuxième en une vilaine barque de pêcheur et le troisième débité en grosses poutres imparfaites. Et les jours passèrent et avec eux les souvenirs de gloire.

 

Un beau jour, une maman au visage rayonnant se pancha au-dessus de la mangeoire pour y déposser un enfant nouveau-né. A cet instant, le premier arbre sût que son rêve s'était accompli et qu'il ne trouverait pas au monde de Trésor plus précieux que celui qu'il accueillait aujourd'hui.

 

Beaucoup plus tard, un homme monta dans la barque. Au milieu de la mer, alors que le vent s'était levé, l'homme se mit debout et, d'un geste de la main, apaisa la tempête. Alors le deuxième arbre sut qu'il ne pourrait transporter à travers les mers de Roi plus puissant et plus grand.

 

Enfin, encore plus tard, des soldats vinrent ramasser les poutres pour en faire une grande croix sur laquelle on vint clouer les mains d'un homme. Le troisième arbre ne comprit pas tout de suite ce qui se passait... Mais le dimanche matin, à la lueur de l'aube, il comprit que lui aussi, le rêve s'était accompli. Désormais en tout endroit du monde, les hommes le regarderaient avec les yeux remplis d'Espérance.

 

Nous ne savons pas toujours quels sont les plans de Dieu pour nous. Nous savons simplement que ses voies ne sont pas les nôtres, mais qu'elles sont toujours meilleures si nous lui faisons confiance. 

 

Auteur inconnu

Conte  des  trois  arbres
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15 mai 2018 2 15 /05 /mai /2018 21:33
La  petite  plante

Un jour le Grand Jardinier me confia une plante d'une qualité très rare, et très belle ; "Je reviendrai la chercher", dit-il en souriant : "Soigne-la bien, en la gardant pour moi."

J'en ai pris soin, et la plante a grandi. Elle a donné une fleur aux couleurs rayonnantes, belle et fraîche, comme l'aurore au printemps. Mon âme était radieuse, mon bonheur sans égal. De toute mes fleurs, elle était la plus glorieuse. Son parfum, son aspect étaient merveilleux ; J'aurais voulu la garder, tant mon coeur s'y était attaché. Pourtant, je savais qu'il reviendrait la chercher.

Et voici, il est venu un jour me demander la jolie plante qu'il m'avait prêtée... Je tremblais ! Mais c'est vrai qu'il m'avait dit qu'un jour il reviendrait pour me la réclamer. "C'est parfait", dit-il en respirant son parfum.

Alors, en se penchant, il a parlé doucement : "Si elle reste dans ce sol, elle va perdre sa splendeur, je veux la transplanter dans mon jardin Là-haut." Avec tendresse, il prit et s'envola pour la planter là-haut où les fleurs ne se fanent pas. Et un jour futur, dans ce jardin de Gloire, je la retrouverai. 

(Auteur inconnu)

La  petite  plante
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11 janvier 2018 4 11 /01 /janvier /2018 19:31
Les  grâces de Lourdes

Extrait d'une homélie du pape Jean-Paul II, donnée le 11 février 1988, à Rome, pour célébrer la mémoire de la première apparition de la Vierge de Lourdes.

A Lourdes, Marie accomplit une mission de soulagement de la souffrance et de réconciliation des âmes avec Dieu et avec le prochain. Les grâces que cette Mère de Miséricorde obtient aux foules immenses d'une humanité endolorie et égarée, ont toutes le but de les conduire au Christ et de leur obtenir le don de son Esprit. A Lourdes, Marie par l'intermédiaire de sainte Bernadette, s'est révélée, de façon éminente, comme "porte-parole de la volonté du Fils". Tout ce que la Vierge dit à la voyante, tout ce qu'elle l'exhorta à faire, tout ce qui ensuite est né, est arrive et arrive, reflète, en un certain sens, la "volonté" de la Vierge Marie : mais au nom de qui a-t-elle obtenu tout ceci, à la grâce de qui, si ce n'est de son Fils divin ? Donc, Lourdes, nous pouvons le dire, appartient au Christ encore plus qu'à sa Très Sainte Mère.

A Lourdes, nous apprenons à connaître le Christ à travers Marie. Les miracles de Lourdes sont les miracles du Christ, obtenus par l'intercession de Marie. Pour cela, Lourdes est un lieu privilégié d'expérience chrétienne. A Lourdes, on apprend à souffrir comme le Christ a souffert. On accepte la souffrance comme il l'a acceptée. A Lourdes la souffrance s'allège parce qu'on vit avec le Christ. Pourvu qu'on la vive avec le Christ. Soutenus par Marie.

A Lourdes, on apprend que la foi soulage la souffrance, mais pas tellement dans le sens de la diminuer physiquement. Cest le devoir de la medecine, ou cela peut arriver exceptionnellement de façon miraculeuse. A Lourdes, on apprend que la foi soulage la souffrance en ce qu'elle la rend acceptable comme moyen d'expiation et comme expression d'amour. 

Saint Jean-Paul II

Les  grâces de Lourdes
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3 décembre 2017 7 03 /12 /décembre /2017 19:00
La  plus  belle  des  fleurs

Le banc dans le parc était vide quand je me suis assise pour lire sous les longues branches broussailleuses d'un vieux saule pleureur. Désillusionnée par la vie, j'étais obligée de froncer les sourcils, car le monde était résolu à avoir ma peau.

Comme si ce n'était pas assez pour gâcher ma journée, un jeune garçon hors d'haleine s'est dirigé vers moi, épuisé d'avoir joué. Il s'est planté devant moi, la tête légèrement penchée, et a dit, tout excité : " Regardez ce que j'ai trouvé !" Dans sa main, il tenait une fleur qui faisait vraiment pitié, ses pétales étaient flétris, la pluie et la lumière lui ayant manqué. Voyant qu'il prenait sa fleur morte et qu'il retournait jouer, je lui ai fait un mince sourire et je me suis détournée.

Au lieu de s'en aller, il s'est assis à mes côtés, a porté la fleur à son nez et a déclaré avec une surprise non dissimulée : "Elle sent bon et elle est belle aussi, c'est pourquoi, je l'ai cueillie ; c'est pour vous, voici."

La mauvaise herbe était à l'agonie ou déjà morte. Ni orangée, ni jaune, ni rouge, ses couleurs étaient fanées. Si je voulais qu'il parte, je devais l'accepter. La main tendue vers la fleur, j'ai dit : "Merci, justement ce dont j'ai besoin." Au lieu de déposer la fleur dans ma main, il l'a tenue en l'air sans raison ou dessein. C'est alors que j'ai remarqué pour la première fois que le garçon à la fleur ne pouvait pas la voir : il était aveugle.

J'ai entendu ma voix frémissante et des larmes ont coulé de mes yeux, en le remerciant d'avoir choisi ce qu'il y avait de mieux. Il a répondu : "De rien", il souriait et est retourné à ses jeux sans savoir qu'il avait transformé ma peine en jour radieux.

Je me suis demandé comment il avait pu apercevoir une femme sous un vieux saule, en plein apitoiement. Comment avait-il senti ma détresse complaisante ? Sans doute était-il béni de voir la vérité avec les yeux du coeur. Par les yeux d'un enfant aveugle, j'ai enfin pu voir que c'était moi, et non le monde, qui broyait du noir. Parce que j'avais si souvent moi-même ignoré la beauté, j'ai juré de voir la beauté dans la vie et d'apprécier chaque seconde qui me serait donnée. J'ai porté la fleur à mon nez et j'ai senti le parfum d'une magnifique rose.

 

Cheryl L.  Costello-Forshey

La  plus  belle  des  fleurs
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12 novembre 2017 7 12 /11 /novembre /2017 19:15
Le  mystère  des  racines

Il ya les "sans domiciles", les "sans argent", les "sans avenir", et tous les "sans" que chacun peut énumérer, et même les églises sans prètres. Face à tous ces "sans", faut-il être sans état d'âme ? Heureusement, il y a la vie qui n'est pas sans paraboles. Par exemple, celle-ci. Dans un jardin, un figuier semblait mort depuis plusieurs années, et ne tenait plus que par habitude. Et puis un jour, surprise : un petit bourgeon était sorti de terre, un petit brin de vie inespérée. Avec précaution, on scia le vieux tronc pour laisser grandir ce qui venait de renaître. Décidément, la vie possède une puissance insoupçonnée : nous sommes bien petits devant le mystère des racines !

Alors, demain, une Eglise sans prêtres ou une Eglise avec plus de prêtres ? Là n'est pas d'abord le problème. Car l'essentiel, ce sont les racines, avec leur mystère de vie insoupçonnée. Et les racines de l'Eglise, c'est Jésus Christ, lui qui a dit qu'il était la Vie. Nul ne sait ce que sera l'Eglise de demain, mais nous savons tous qu'elle sera vivante. Il y a des vieux troncs dans cette Eglise, mais qui n'empêcheront pas les petits brins de vie de surgir, de grandir et de fleurir. Tout est une question de confiance dans le mystète des racines, et quand ces racines sont la vie elle-même, il n'est plus possible de douter.

La Toussaint inaugure le mois de novembre. La Toussaint est la fête de tous ceux qui ont cru dans le mystère des racines. Novembre avec des feuilles mortes, oui, mais pas sans racines annonçant une nouvelle vie !

Pépitou

Le  mystère  des  racines
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9 octobre 2017 1 09 /10 /octobre /2017 10:15
Image  de  la  paix

Il était une fois un roi qui voulait offrir un prix à l'artiste qui ferait la peinture de la plus belle image de la paix. Plusieurs artistes essayèrent. Le roi regarda les images, mais il n'y en avait que deux qui lui plaisaient et il avait à choisir entre ces deux peintures.

La première image représentait un lac calme. Le lac était un miroir parfait pour les montagnes majestueuses qui l'entouraient. Au-dessus, il y avait un ciel bleu avec quelques nuages blancs. Tous ceux qui virent cette peinture pensèrent que c'était l'image parfaite de la paix.

L'autre peinture avait aussi des montagnes. Mais elles étaient abruptes, rocheuses et sans arbre au sommet.. Au dessus, il y avait un ciel orageux avec de la pluie et des éclairs. A côté de la montagne, il y avait une grosse chute d'eau. Cela ne ressemblait en rien à la paix.

Mais quand le roi regarda; il vit derrière la chute un petit buisson qui avait poussé sur le rocher. Dans le buisson, une maman oiseau avait bâti son nid. Là, au milieu des remous,la maman oiseau étaient assise sur son nid... en parfaite paix.

D'après vous, quelle image a remporté le prix ?

Le roi a choisi la seconde.

Parce que, explica-t-il, être en paix ne veut pas dire être à un endroit où il n'y a ni bruit ni trouble ni gros travaux. Etre en paix, c'est bien souvent être au milieu de difficultés et de désagréments mais être toujours calme dans son coeur.

Anonyme

 

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26 septembre 2017 2 26 /09 /septembre /2017 17:46
Rencontrer  à  l'école  de  Marie

Au cour de l'été, lors de la célébration de l'Assomption, nous entendons l'évangile de la visitation où Marie se met en route rapidement pour aller à la rencontre de sa cousine Elisabeth. Le temps des vacances es propice à de nouvelles rencontres, tant avec le Seigneur qu'avec nos frères.

Suivons la Vierge Marie qui nous apprend à vivre ces rencontres. Après sa rencontre avec l'ange Gabriel, elle part en toute hâte à la rencontre de sa cousine Elisabeth. Marie ne reste pas enfermée chez elle, elle sort et parcourt un long chemin jusque dans les montagnes de judée. Elle aurait pourtant eu bien des raisons de ne pas y aller ; peur de la route, crainte de faire des mauvaises rencontres. Toute rencontre est d'une certaine manière risquée : elle comporte une part d'inconnu, elle peut se transformer en conflit, elle peut engendrer l'incompréhension, la peur ou la déception. Mais c'est un risque à courir, car la charité suppose cette rencontre en particulier avec les plus fragiles et les plus faibles.

Les chrétiens sont particulièrement invités à sortir à la rencontre des autres, comme insiste souvent le Pape François. Il faut savoir risquer la rencontre réelle comme un chemin de charité et d'humanité.

Rencontrer  à  l'école  de  Marie

Marie prend la peine de rejoindre Elisabeth chez elle, dans son environnement. Comme Marie, il nous faut consentir à aller rencontrer les autres là où ils sont et aussi pour ce qu'ils sont. Rencontrer leur culture, leur manière de vivre et de penser, et nous ouvrir ainsi d'autres perspectives. Mais aussi considérer ceux que nous rencontrons là où ils en sont de leur vie, de leur histoire avec ses blessures et ses mystères. Enfin, les rejoindre pour ce qu'ils sont, sans a priori, avec bienveillance, même si leur caractère, leurs manières ou leurs convictions vont à l'encontre des nôtres. La charité commence souvent par accepter l'autre pour ce qu'il est et d'acepter aussi nos propres limites.

Le secret de la joie d'une rencontre réside dans sa gratuité : ne rien attendre de l'autre sinon la joie de se retrouver, de partager un moment ensemble, et nous savons par expérience combien ces moments sont précieux. Une belle rencontre peut transformer une existence, elle peut redonner du goùt à la vie.

N'ayons pas peur, cet été, de sortir comme Marie à la rencontre de ceux qui nous entourent, connus, dans la simplicité, l'huminité et la gratuité. Nous serons alors certains d'être conduits vers la rencontre définitive avec le Seigneur dans la gloire du Ciel.

Rencontrer  à  l'école  de  Marie
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21 août 2017 1 21 /08 /août /2017 20:58
L'écho  de  la  vie

Un enfant marchait avec son père dans la montagne. Tout à coup l'enfant tomba et poussa un cri : "Aïe ! " Très surpris, il entendit une voie répéter quelque part dans la montagne : "Aïe !"

Curieux, l'enfant cria : "Qui est là ? "

Il écouta, et la voix répéta : "Qui est là ?"

Fâché par la réponse l'enfant cria "Lâche !"

Et il reçut la réponse : "Lâche !"

L'enfant regarda son père et lui demanda : "Qu'est-ce que c'est ?"

* Ecoute bien, mon fils, répondit le père. Il cria :

* Je t'admire ! Et la voix répondit : "Je t'admire !"

* Tu es un champion, dit alors le père. Et la voix répondit : "Tu es un champion !"

Les gens appellent cela ECHO, mon fils, mais en réalité c'est la Vie qui te rend tout ce que tu fais. Notre vie est simplement un reflet de nos actions.

Si tu désires plus d'amour dans le monde, crée plus d'amour autour de toi.

Si tu voudrais un sourire, donne un sourire...

La vie te donnera exactement ce que tu luis as donné. Ta vie n'est pas ce que tu reçois, revois bien ce que tu donnes.

L'écho  de  la  vie
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20 mars 2017 1 20 /03 /mars /2017 21:15
Semer  la  solidarité

* Fais grandir le sentiment que nous avons besoin les uns les autres, que nous avons une responsabilité envers les autres et pour le monde, que ça vaut la peine d'être bon et honnête.

 

* Fais envers les autres de petits gestes de courtoisie, afin qu'ils aident à construire une culture de vie partagée et le respect de ceux qui nous entourent.

Semer  la  solidarité

* Vivre sobrement est libérateur. Revenir à la simplicité qui permet de valoriser ce qui est petit et remercier pour les possibilités que la vie nous offre sans s'attacher à ce que nous avons ni être tristes pour ce que nous n'avons pas.

 

* Prends du temps de t'approcher de la nature en te laissant émerveiller par sa beauté. Reconnaître que les ressources que nous avons sont un cadeau qu'il faut utiliser sans le gaspiller afin que d'autres puissent en bénéficier.

Semer  la  solidarité

* Souris à ceux que tu rencontres. La vie n'est pas facile aujourd'hui. Des gens portent souvent des peines dans leur coeur. Un sourire peut éclairer une journée. Sainte Teresa de Calcutta disait : "Nous ne saurons jamais tout le bien qu'un simple sourire peut être capable de faire".

 

* "Quand tout paraîtra difficile; quand il semblera que le monde s'effondre sur vous, embrassez sa croix, embrassez-le et, s'il vous plaît, ne lâchez jamais sa main, même s'il vous faisait avancer en vous traînant".

(Pape  François)

Semer  la  solidarité
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11 janvier 2017 3 11 /01 /janvier /2017 20:59
L'importance  d'une  salutation

C'est l'histoire d'un homme qui travaillait dans une entreprise d'emballage de viande en Norvège. Un soir, à la fin de sa journée de travail, il se rendit à l'une des chambres froides pour voir si tout était en ordre. La porte se referma sur lui et se bloqua et il resta enfermé dans se réfrigérateur. Il frappa de toutes ses forces à la porte mais personne ne l'entendit. La plupart des employés étaient déjà rentrés chez eux et en plus il était presque impossible de l'entendre crier vu l'épaisseur de la porte.

 

L'importance  d'une  salutation

Il resta cinq heures dans cette chambre froide, au bord de la mort.

Tout à coup la porte s'ouvrit. L'agent de sécurité le trouva et le sortit de là. Il était sauvé.

On demanda à l'agent pourquoi il était allé ouvrir cette porte qui ne faisait pas partie de son travail de routine.

Il répondit : "Cela fait 35 ans que je travaille dans cette entreprise ; des centaines d'employés entrent et sortent tous les jours, mais il est le seul qui me salue le matin et le soir. Pour les autres, je suis comme invisible.

 

L'importance  d'une  salutation

Aujourd'hui il m'a dit bonjour en arrivant mais le soir je ne l'ai pas entendu dire " à demain". J'attendais tous les jours ce "bonjour" et ce "à demain". Me rendant compte qu'il ne m'avait pas dit son habituel "à demain" j'ai pensé qu'il devait encore être quelque part dans le bâtiment. Je l'ai cherché partout et je l'ai trouvé.

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